I'm Yang Minwoo; Feat : Oh Sehun
Nombre de messages : 5
| Sujet: Yang Min Woo - fini - Lun 17 Fév - 2:59 | |
| Yang Min Woo ; Poste vacant. Non; Feat. Oh Sehun ; My name is my credit card. Age. 20 ans Origines. Corée du Sud Sexualité. Groupe Sanguin. B Groupe. Artificial Dreamer.
| I’m too sexy for my shirt. "J'suis beau gros."
Sans me vanter, j'ai de la chance. Sans trop d’efforts, je suis parfait. Alors que d'autres galèrent pour être un minimum présentables, moi je fais tourner les têtes même quand je sors de boîte. Parce que oui j'y vais.
Je suis grand, musclé mais ça ne se voit pas, blond (merci les coiffeurs), les cheveux courts. Du moins pour le moment. Bon, je suis asiatique, donc je n'ai pas de grands yeux bleus pleins d'étoiles. Les miens sont de taille normale (pour un asiatique), noirs et moqueurs. J'ajouterais que la couleur de mes yeux va très bien avec celle de ma peau, blanche comme celle d'un cadavre. Jolie comparaison je sais que vous êtes jaloux.
Passons. Niveau vestimentaire ... Le noir domine, agrémenté de touches de blanc, quand je mets un tee shirt, une chemise ou un débardeur. La quantité de fric que je mets dans les vêtements n'est pas négligeable. J'en ai tellement que je me demande parfois où je vais les ranger. Bref. |
You’re in my head, get outta my head. –Ashlee Simpson Rêver pour vous, c'est ? La meilleure façon d'éviter de sombrer dans la folie, bien que depuis longtemps, je ne me rappelle d'aucun de mes rêves. Un rêve qui vous a marqué. Quand j’étais plus jeune, il y a une dizaine d’années, j’avais rêvé d’une vie dite parfaite. Père (connu), mère (présente), chien, chat et jouets dans le jardin. J’avais trouvé cela bien étrange, vu que ce genre de choses ne m’intéressaient pas le moins du monde. Ma mère ne me manquait pas, je n’avais pas spécialement besoin de père. J’avais, pour le moment, bien grandis sans eux. Revenons donc à ce rêve. Je voyais mes parents, qui souriaient, mes animaux de compagnie qui couraient, je me voyais jouer avec bon nombre d’objets dans la belle maison dans laquelle cette famille parfaite dont je faisais partie vivait … J’étais heureux, mais d’une autre façon, qui d’ailleurs m’angoissait. Dans ma jeunesse, pas que je sois vieux, je traînait avec pleins de gamins de mon âge. Ma situation familiale, comme dit, ne me dérangeai pas. Donc on ne peux pas me considérer comme un gamin perturbé. Bien que, probablement, je n'étais pas le plus calme du village. Bref, mon caractère chelou ne date donc pas de cette période. Sûrement mes années lycées, qui on été, pour moi, un mélange d'émotions. De vraies montagnes russes. Je ne vais pas m'attarder dessus. C'est ma période actuelle la plus intéressante, bien que le Minwoo mignon et joyeux soit totalement un sujet passionnant.
J'arrive à m’adapter à toute situation qui se présente à moi. Je suis, malgré tout, très intelligent. Mais je suis à moitié fou. Peut être même au trois quarts. Je ne vis dans la réalité qu'un jour sur trois, dormant la plupart du temps. Mais tout ça, je m'en fiche. Je suis un je-m’en-foutiste total, n'ayant plus vraiment de limites.
Avant, on pouvait dire que j'aimais les jeux en ligne, ce n'est plus le cas. Je n'aime plus grand chose, tout me semble fade, comme des légumes sans assaisonnement.
Je devrais avoir honte de ce que je suis devenu peut être, mais pas du tout. I won’t get stuck in the past –Ashley Tisdale Je suis né, c’est un fait. Plus précisément le 7 février 1994, à Busan. Je ne m’en rappelle pas, évidemment, je n’étais pas conscient de ma naissance, c’est juste indiqué sur ma carte d’identité. Ma mère était jeune, à ce moment là. Peut être 18 ans, un truc dans le genre. Elle ne savait pas qui était mon père. Cette dernière n’a pas tardé à me laisser chez ses parents, afin de s’enfuir je ne sais où avec je ne sais qui. Probablement qu’elle n’avait pas assez de force mentale pour s’occuper d’un gamin.
C’est triste ? Du tout, je m’en fiche. J’ai eu beaucoup de chance en atterrissant chez mes grands parents. Ils avaient toujours soutenu ma mère, malgré ses choix stupides et irréfléchis. J’ai donc grandis bien entouré, choyé, gâté certes, mais éduqué avec des valeurs. J’allais à l’école, comme tout enfant de mon âge, bien que je n’aimais pas ça, j’avais des amis, je faisais du sport … Parfois même, entre deux voyages dans sa tête, ma mère faisait son apparition.
Bon, les onze premières années de ma vie avaient été parfaites.
Bien que je n’aimais pas l’école, j’apprenais vite, j’étais considéré comme intelligent. Les professeurs avaient suggéré à un moment que je saute une classe, entrant directement dans la seconde année de collège. Finalement ça n’avaient pas été fait, pour une raison quelconque. J’étais donc entré dans ma première année de collège avec mes amis d’école élémentaire. L’année était vite passée, entre devoirs, sports (je pratiquais le football et le tennis) et amis. Vint la deuxième, qui passa aussi vite que la précédente. Je grandis, physiquement et psychologiquement. En troisième année, j’eus ma première copine. Une jolie fille, très jolie même. Rien de bien folichon. Nous sommes restés quelques mois ensembles, avant qu'on ne se lasse chacun de l'autre. Arriva la dernière année, puis l’examen final. Évidement, j’eus les meilleurs résultats de l’école. Ce qui me permis d’entrer dans l’un des meilleurs lycées de la ville, en prime titulaire d’une bourse. J’étais, malgré mon jeune âge, promu à un sublime avenir.
Pour fêter ça, j’eus un ordinateur. Erreur. Grosse erreur. Je découvrais les forums de discutions, les jeux en ligne … Les vacances d’après collège, à la place de sortir avec mes amis, je les avaient passées assis sur ma chaise de bureau.
Comme prévu, j’entrais au lycée. Je m’ennuyais. Mon corps était là, mon esprit se baladait dans des mondes inventés par d’autres, dans lesquels j’étais à chaque fois un autre. Je commençais à sombrer. De justesse, je passais en deuxième année. Les profs avaient mit mes notes basses sur le compte du stress. Que nenni. L’école ne m’intéressait déjà plus. Juste pour mes grands parents, je faisais l’effort de continuer, du moins d’essayer.
Les premiers mois de la seconde année furent chaotiques. Malgré les avertissements, mes notes continuaient de chuter. Je n’y pouvais rien, j’étais ailleurs. Il avait fallût que ma mère décède d’une overdose pour que je reprenne ma vie en main.
Minwoo l’intello était de retour. Mon monde virtuel était mis de côté, du moins pour le moment. C’est donc en tête du classement que je finis cette deuxième année. Et un an plus tard, au grand bonheur de mes professeurs, j’eus mon diplôme.
J’étais enfin libre. J’avais 18 ans. Et tout ce dont j’avais envie, c’était de retourner dans mes mondes imaginaires. Ma vie ne me plaisait pas. J’avais été un pantin, forcé de faire ce qui ne me plaisait pas. En fait, j’avais été spectateur de ma propre vie.
Après de nombreuses discutions, j’avais réussi à convaincre ma famille de me laisser partir à la capitale, prenant une année sabbatique afin de travailler pour économiser et l’année suivante, entrer dans une université. C’était dommage, selon les autres. Tant pis. C’est donc le cœur léger que j’atterri à la capitale, trouvant rapidement un appartement et un travail dans un café. Bien sûr, mon ordinateur m’avait suivi.
Jouer, travailler, manger. Je ne dormais qu’une nuit sur deux. Et très vite, je m’étais fais renvoyé de mon job. Et afin de pouvoir continuer de subvenir à mes besoins, j’acceptais un mi-temps dans un bar, près de chez moi. C’était une sorte de maison close, bien que cela soit interdit dans le pays.
J’étais tombé bien bas, mais je m’en fichais. Les horaires me permettaient de continuer de jouer en ligne et avoir de vraies « nuits » de sommeil.
Je n’étais arrivé à la capitale que depuis cinq mois que je n’étais plus le Minwoo d’avant. Mon ordinateur, je l’avais vendu, lui qui m’avait fait sombrer. Rejeter la faute sur une machine était pitoyable. Mais j’étais devenu pitoyable. Je n’arrivais même plus à quitter mon boulot, je ne trouvais rien d’autres. Je continuais de passer entre les mains de vieux.
Ma seule façon de m’échapper, le rêve. Qui vite, lui aussi, fût supprimé.
Tout est passé vite. Afin de ne pas devenir complètement fou, une solution s’offrait à moi. Acheter du rêve. J’étais donc, à 20 ans, drogué au rêve.
Sealed with lies through so many tears –Evanescence Code. Destroy the dream Comment avec vous connu le forum ? Dijon ! Laully - 22 ans - Pas de vie connue, c'est pour cela que j'ai possibilité de me connecter genre tous les jours. Tout le monde croit que j'aime Tehun imnida mais c'est faux, Kris il est trop parfait. - Spoiler:
Vu que je n'ai pas RP sur forum depuis longtemps, je poste un morceau de fiction, j'espère que ça passe !
"Quand il se réveilla, il cligna plusieurs fois les yeux. Tout ce blanc autour de lui l’éblouissait. Passer ainsi du noir total au blanc presque lumineux, ça perturbe. D’ailleurs, où est ce qu’il avait bien pût atterrir ? À l’hôpital. C’est vrai, l’accident. Fidèle à lui même, Kyungsoo soupira, regardant son bras, sur lequel s’enroulait un bandage immaculé, tout comme les murs de cette chambre. Il avait mal un peu partout, il avait probablement un bon nombre de bleus. Puis, il réalisa.
Jongin.
Est ce qu’il avait réussi à le sauver ? D’un coup, il sentit son cœur se serrer. Perdu dans ses pensées, il n’entendit pas la porte s’ouvrir et se fermer, puis des pas allant dans sa direction.
- Tu sais que tu nous as fait peur … ?
Kyungsoo sursauta en entendant la voix de Junmyeon et se tournait vers son Hyung, qui souriait.
- Est ce que Jongin va bien ?
- Oui, il a eu de la chance. Plus que toi. Qu’est ce qu’il t’a prit ?
- Je n’en sais rien. Tu l’aurais vu comme ça … Il me faisait de la peine et … Quand je l’ai vu avancer … Aish …
- Hm … Tu as bien fait. Ah, au fait, tes parents prennent le premier avion demain matin.
Junmyeon sourit au plus jeune, qui sourit à son tour. Il était rassuré. Au moins, Jongin allait bien. Du moins … En partie. Pendant quelques secondes, rien ne se passa et le plus vieux sortait de la chambre, précisant qu’il allait voir Chanyeol et Baekhyun chez eux, après avoir prévenu les infirmières. Son Hyung lui promit de revenir demain, accompagné des deux autres zigotos.
Une fois seul, Kyungsoo s’allongea sur son lit, fermant les yeux. Il avait envie de sortir d’ici au plus vite. Une infirmière s’affairait autour de lui, lui donnant mal à la tête. Elle trifouillait la perfusion, reliée au bras de Kyungsoo par un tuyau, prenait sa tension, vérifiât ses blessures … Il avait juste envie de dormir merde. Il allait bien.
- Excuse moi … ?
L’infirmière avait sûrement fini et avait été remplacée par un jeune homme, la peau presque aussi blanche que ses cheveux. Kyungsoo ne l’avait jamais vu, il s’en serait souvenu. Son visage ne passait pas inaperçu. Ne répondant pas, il le laissa avancer vers lui. Le visage du jeune homme lui faisait mal au cœur.
- Je suis Oh Sehun, le meilleur ami de Jongin … Je … Merci de l’avoir sauvé … Je … Je ne savais pas qu’il …
Oh Sehun fondit en larmes. Kyungsoo ne bougeait pas, touché. Puis, finalement, il attrapa le bras de Sehun et l’incita à s’asseoir sur son lit. Il avait l’air perdu.
Le laissant reprendre ses esprits, Kyungsoo tapotait l’épaule du jeune homme. Ce dernier tourna son regard rougi par les larmes vers Kyungsoo.
- Merci … Vraiment … Tu sais … Ça fait un an que je ne reconnais plus mon meilleur ami. Ce que je vois quand je le regarde, c’est une coquille vide … Je … Je hais Lee Taemin. Je suis horrible mais … Il a emporté l’âme de Jongin … Mais moi … Je me hais encore plus. Parce que je n’ai jamais rien pût faire pour lui. J’ai regardé sa chute, sans bouger …
- Ne dis pas ça … Tu ne pouvais probablement pas …
- Monsieur Oh ! Jongin est réveillé."
Dernière édition par Yang Minwoo le Ven 7 Mar - 18:47, édité 10 fois |
|